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*quot;Ma femme voudrait vous regarder vous branlerJe pensais avoir une modeste expérience en matière d?aventures sexuelles. Eh bien, mes deux premières histoires publiées ici ? « Le Chasseur d?escargots » et « Au bord de la nationale 4 » - ont eu l?effet d?un déclencheur. Outre celui que je vais vous livrer aujourd?hui, ces histoires ont eu pour effet de faire surgir d?autres souvenirs de ma mémoire. Dans des hôtels, par exemple, un peu partout dans le monde.Je m?aperçois aussi que je n?ai pas réalisé tous mes fantasmes et c?est tant mieux ! Je suis de ceux qui estiment qu?il ne faut pas les réaliser tous. Car, après, de quoi seraient faits nos rêves sexuels ? De plus, j?ai eu une compagne, une femme magnifique, qui, dans sa vie, avait tout fait, tout ! Depuis l?âge de 16 ans. Résultat : elle était désabusée, ne prenait plus plaisir au sexe (elle disait que son but était de faire plaisir au partenaire, sans plus) et surtout... était détruite, cassée, comme une poupée de porcelaine dont les yeux ont été enfoncés dans son crâne et qui font du bruit, un vilain bruit...Avec elle, le temps de notre bout de chemin ensemble, j?ai réalisé deux ou trois petites choses : pipes et branlettes en voiture ; exhibition en dépassant les routiers ; scènes de copulation, entièrement nus, dans l?appartement rideaux ouverts et lumière allumée pour amuser les voisins. Cette fille me faisait un effet terrible : je bandais en permanence en sa présence !Mais revenons à mes promenades à poil en forêt.Tout prêt de la nationale 4 et de l?endroit où j?avais sucé un chasseur d?escargots et un artisan, il y avait ? il y a toujours ? une grande butte de terre, sans beaucoup d?arbres ,vaste comme un terrain de football et où poussaient quantités d?herbes folles. Je m?y rendais souvent soit pour bronzer et me branler tranquillement, soit pour le faire avec des correspondants au téléphone. Au préalable, j?étais allé sur 3615 illegal bahis Ulla ? ou un autre site minitel rose de ce genre ? et je donnais un rendez-vous téléphonique aux gens qui se trouvaient là s?ils désiraient m?entendre me branler et/ou se branler avec moi au téléphone. J?avais beaucoup de succès. Beaucoup d?hommes, bien sûr, mais aussi deux ou trois femmes, des quadras ou quinquas à la très forte libido manifestement qui jouaient bien le jeu. Elles sont vite devenues des habituées et j?ai même rencontré physiquement l?une d?elles.Parfois, je ne me contentais pas de me branler avec mon correspondant. J?allais m?exhiber, en direct pour lui, au bord de la route. Il entendait les voitures, les camions klaxonner et, comme il se branlait de son côté, il jutait généralement avec de grands râles !Ce jour de la mi-août, ensoleillé et chaud, où je me suis mis à grimper sur cette butte, c?est ce que j?avais l?intention de faire. Je ne sais pas pourquoi, j?avais enlevé mon T-shirt mais gardé mon short. Arrivé quasiment à l?endroit où je comptais me désaper totalement, je tombe sur un type, la cinquantaine grisonnante puis, quelques mètres plus loin, sur une femme ? sa femme ? même âge, même style, un peu rondelette et avec une poitrine généreuse, qui cueillait des mures.Un « bonjour » et je continue mon chemin. Oh, je ne vais pas loin. Pas question car une idée germait dans mon esprit déjà : je veux qu?ils me voient à poil !J?arrive sur le petit carré où l?herbe était plus courte et je me déshabille totalement. Le couple était invisible derrière les buissons et j?espérais qu?ils ne rateraient pas le spectacle. J?avais raison. Je choisis de faire celui qui se faisait bronzer intégralement mais ma queue étant déjà en érection, je la caressais tout de même un peu. J?étais bien et j?attendais la suite. Qu?allaient-ils faire tous les deux ?Je n?avais pas grand-chose à craindre. Les portables illegal bahis siteleri en étaient encore à leurs balbutiements ? j?avais un Ola de France Telecom ? et les risques encourus n?étaient pas aussi grands qu?actuellement avec la généralisation des smartphones.Au bout de quelques minutes, par-dessus mes lunettes de soleil, je vis le type apparaître timidement de derrière un buisson. Il vint vers moi. Moi, je me remis à me branler. Il regardait là où il fallait et semblait apprécier.- Bonjour.- Oui, bonjour...- Vous faites ça souvent ?- Quoi ? Me mettre nu ou me branler ?- Ben les deux. Vous êtes bien équipé, dites-donc !Ma bite, je l?ai déjà précisé, mesure, en érection 18 ou 19 cm. Elle est bien proportionnée et a un gros gland très sympathique qui a toujours attiré les femmes et les hommes qui l?ont vu.-Merci mais elle est normale, non ?-Non, non. Elle est grosse. Elle est belle.Et il ne la quittait pas des yeux. Mais je voyais qu?il voulait me dire quelque chose d?autre que ces « politesses ». Après une hésitation, il se décida enfin :-Je peux vous demander quelque chose ?-Oui.Je me branlais toujours...-Ma femme voudrait vous regarder vous branler. C?est possible ?Tu parles, si c?était possible mais... ça ne me suffisait pas !-Ce sera avec plaisir. Elle pourra participer si elle le veut.Je décidais tout de même de ne pas les brusquer et de les amener, peu à peu, à ce que je voulais.Il appela sa femme qui déboucha de derrière le buisson en souriant timidement. Je me levais, me mis devant elle et commençais à m?astiquer lentement. Mon gland était déjà prêt à exploser ! Il ne fallait pas que j?aille vite. Il fallait même interrompre le processus de temps en temps. J?en profitais alors pour plaquer ? sans les mains, bien sûr ? ma bite contre mon ventre avec ces claquements caractéristiques qui sont ceux d?une queue qui bute contre les abdos.Je décidai finalement canlı bahis siteleri d?affoler la machine :-Montre-moi tes seins. Sors ta bite !Il ne se fit pas prier : il était en train de se branler, la main dans sa poche. Sa bite était plus petite que la mienne, pas très grosse. Je lui signe de s?approcher et je pris sa queue dans ma main pour le branler. Dans le même temps, je lui fis comprendre, en lui tendant mon bas-ventre de s?emparer de ma pine. Ce qu?il fit.La femme était folle devant le spectacle qu?on lui offrait. Elle avait fait jaillir ses gros seins de son soutien-gorge et elle se caressait l?entre-jambes. Je lui fis signe d?approcher et, tandis qu?il me branlait et que je faisais de même avec sa bite, je malaxais les seins de sa femme... qui partit en gémissements. Je lui dis alors :-Suce-moi ! Avale mon zob !Elle s?agenouilla et, ayant fait signe à son mari d?enlever sa main, s?empara de ma bite et l?enfourna.Je dois avouer que je n?ai pas pu tenir longtemps. C?était trop inattendu, trop bon, trop décalé. Quand j?ai éjaculé, elle ne s?est pas retirée et à tout avalé. Son mari est parti aussi quelques secondes plus tard.A ce moment, mon portable a sonné. C?était un de ces correspondants assoiffés de branlettes au téléphone. Je lui expliquai rapidement ce qui venait de se passer.-C?est vrai ? me dit-il. Tu déconnes !-Attends, je te passe madame.Et je demandai à ma partenaire d?un jour de confirmer qu?elle venait de me branler et de me sucer, et tutti quanti. Elle me redonna lé téléphone juste pour me faire entendre les râles de plaisir du mec, comblé, qui devait asperger son téléphone de son sperme !Le calme revenu, mes nouveaux partenaires ne sont pas partis comme des voleurs. Nous avons discuté de tout et de rien mais avec le sexe pour sujet, bien entendu. C?était plus ou moins des habitués du Cap D?Agde et ils me dirent qu?ils avaient découverts toutes ces petites choses « défendues » sur le tard et que ça leur plaisait beaucoup. Tout en discutant, sa femme caressait ma bite et mes couilles. Elle était heureuse, transfigurée, détendue. C?était beau. Je ne tardais pas à bander de nouveau et à éjaculer dans sa main.